Le chemin des fées de la Galice à l’Écosse, Sylvain Tesson marche encore !
On embarque sur le voilier qui le suit depuis la mer.
On retrouve le langage poétique de l'auteur, les descriptions magnifiques.
On marche avec lui, on sent les embruns, on ressent le féérique.
Pour autant, ce n'est pas le meilleur de Tesson !
Lissou

Tu as aimé Mamie Luger ? Ce polar est pour toi ! Tu n'as pas aimé Mamie Luger ? Ce polar est quand même fait pour toi (mais je note que tu as des goûts discutables) !
Benoît Philippon signe son nouveau roman, toujours aussi bon et truculent. J'ai pu découvrir cet auteur par son roman "Cabossé" et n'ai pas pu le lâcher depuis.

Une petite perle de douceur comme la littérature japonaise sait si bien bien faire.
Hirasaka est le propriétaire d'un studio de photo un peu particulier qui permet au défunt au moment de leur mort de revivre des instants de leur vie au moyen de photographies.
Seule la littérature japonaise arrive à me plonger dans ce nuage moelleux de nostalgie et, car c'est bien là la grande puissance de ce livre, nous faire revivre nos propres souvenirs au travers des différentes histoires écrites.
Un premier roman de Sanaka Hiiragi teinté de mélancolie, de nostalgie, de tendresse et d'humanité que je vous recommande très vivement.

Un livre qui montre de façon logique que la lecture depuis le plus jeune âge favorise le développement et la connaissance du monde pour l'enfant.
Pour aider le tout-petit il est bien décrit que l'aide des adultes, comme la lecture partagée va favoriser l'apprentissage et créer un effet boule de neige pour l'acquisition de la connaissance.
J.N. David

Je n'ai pas réussi à entrer dans le récit.

Totale découverte pour moi si peu "connectée"... J'ai pu suivre un peu grâce aux démonstrations techniques et aux illustrations "appliquées" relevant de la littérature, de la filmographie. Grâce au talent de l'autrice je n'ai pas décrochée.

Focus sur le malheur, la tristesse, la désolation de ces femmes. Je n'ai pas entr'aperçu le peintre.
Aucun intérêt.

Je décerne à cet ouvrage le prix de la lectrice enthousiasmée par ces 380 pages instructives. Sérieux, bien documenté, qui m'amène à réfléchir à certains malaises ressentis.
Un bravo !

C'est comme un feuilleton (Thérapie) tant l'analyse des caractères, des situations s'y prêtent. L'auteur passe de l'individu au groupe puis aux clans. Intellectuels très hypocrites, jouant bien l'amitié Indéfectible ? Quelques longueurs mais l'écriture est dynamique.

J'ai persévéré et finalement aimé, cette lecture. L'écriture est belle, les mots d'antan savoureux, les évocations et sentiments puissants.

C'est triste, douloureux qu'on je pouvais m'y attendre, mais l'histoire est très confuse. Je n'ai pas aimé ce livre à ne pas savoir qui est qui.

J'ai lu à petits pas et le dico sous la main. J'ai aimé même si je me suis sentie dépassée, ce qui a un peu plombé mon enthousiasme.

Le travail rigoureux de documentariste m'a vite embarqué jusqu'à la fin. J'étais moi même en train de courir après la vérité, celle de l'élément déclencheur de sa bascule.

Tout en délicatesse pour évoquer une famille paysanne en souffrance. Je perçois, du respect, les mots sont justes et pour parler du désespoir un magnifique passage (pages 71-72) que je me suis lue à voix haute.

Ambiance funeste, pesante. Je n'ai trouvé aucun intérêt, ni poésie.

Livre plaisant, dépaysant. Après quelques recherches pour mieux connaître Anna BOBERG j'ai saisi la puissance de l'environnement des Lofoten.

Un ton parfois sarcastique, des sauts dans le temps déroutants demandant une gymnastique intellectuelle. Lecture laborieuse.

Un livre passionnant sur le milieu des organisations humanitaires et des relations internationales. Zamir est un personnage intrigant et attachant, un peu effrayant aussi comme on le découvre tout au long de ce roman, très bien écrit par un auteur turc, qui a déjà reçu le prix Médicis étranger pour un précédent roman.

Livre très intéressant sur la mythologie gréco-romaine compréhensible par tout le monde même ceux qui ne connaissent pas très bien la mythologie.

Un de mes livres préférés, je l'ai dévoré en deux jours.

Juste incroyable.

Cette série est vraiment incrooooyyyabbbblllleee !!!
Je la recommande vivement !

Tanto me ha gustado, que tengo mucha gana de leer La Nena, la tercera novela.
Manu

J'ai aimé la plume délicate de l'auteur qui évoque subtilement cette relation conflictuelle entre un père et son fils, mais également tout l'amour qu'ils se portent.
J'ai trouvé la 1ère partie très caricaturale : le père, publicitaire, bien fringué, bien parfumé ; le fils, zadiste, pas lavé, mal habillé qui profite du système... Forcément 2 opposés, le clash était donc inévitable.
Malgré les stéréotypes, on ressent un certain amour, une nostalgie du passé.
Et puis, quand la vie du père bascule, on découvre la ZAD, ses codes, son fonctionnement. J'ai aimé la façon dont les 2 protagonistes se ré-apprivoisent, cultivent le bonheur en communion avec la nature et prennent le temps de vivre et se questionner.

Un roman qui offre un regard positif sur la marginalité, la résistance au système et qui casse les idées reçues. Un roman tendre sur la relation père-fils.

Comment raconter de la manière la plus héroïque cette descente de la seine en canoé.
Atypique et distrayant.

Au sens premier du terme, car le rythme vous tient en haleine jusqu'à la dernière page.

La gouaille du soldat, les intrigues politiques, l'inconnu et le mystère de l'heroic fantasy, les rebondissements, les personnages... Tout y est !

La gouaille du soldat, les intrigues politiques, l'inconnu et le mystère de l'heroic fantasy, les rebondissements, les personnages... Tout y est !

La gouaille du soldat, les intrigues politiques, l'inconnu et le mystère de l'heroic fantasy, les rebondissements, les personnages... Tout y est !

L'univers "post apocalyptique" dans lequel on évolue fait effectivement froid dans le dos. Mis à part cela, pas grand chose à se mettre sous la dent...

L'ensemble de la série est à lire sans faute si on aime la SF !

Très beaux dessins, belle ambiance. Pour ceux qui aiment les western.

Malgré les 427 pages, ce livre se "dévore" : on n'arrive pas à le quitter pour savoir la fin.

Noé est hyper-anxieux, les agissements des humains face à la prédiction de la 6ème extinction de masse le minent... Mais grâce à de forts liens d'amitié, à sa famille et à un de ses profs, il va se relever.
Une histoire bien menée, courte et facile à lire. Du vécu qui colle aux réalités des ados, et un sujet éminemment d'actualité ! On en ressort gonflé d'espoirs !

Un livre qui relie très intelligemment plusieurs problématiques contemporaines, la décolonisation, la fin de vie, l'immigration. Et une langue pleine de sensibilité pour décrire l'enfance rwandaise de Consolée, le personnage principale de ce second roman de Beata Umubeye Mairesse.

Un livre dont l'auteur a perçu la démocratie dans tous les états possibles; d'autre part on peut vérifier ses dires!
Il y a longtemps j'aurai aimé aborder lors de mes études ce livre car M. Tocqueville est un visionnaire.